Traduire et rédiger des documents ayant trait au domaine juridique, c’est le métier du traducteur juridique. Contrats divers, documents légaux et officiels d’entreprise sont souvent à traduire dans une langue étrangère. Ce qui nécessite des compétences particulières. Le métier de traducteur juridique est prometteur, comment en devenir un ?
À propos du métier de traducteur juridique
Le métier de traducteur juridique n’est pas forcément bien connu. Il s’agit d’un métier quelque peu technique qui nécessite, comme son nom l’indique, deux domaines en particulier. Le traducteur doit s’y connaître parfaitement en droit et au moins en une langue étrangère. Sa tâche principale est ainsi de traduire des textes juridiques dans une autre langue.
Le traducteur juridique travaille dans un cabinet, mais il peut également travailler en indépendant. Dans ce deuxième cas de figure, le traducteur juridique peut exercer le métier de traducteur sous différentes formes. Dans tous les cas, il est utile de noter que le traducteur juridique est un traducteur assermenté.
Ainsi, un traducteur juridique a une connaissance poussée d’une langue étrangère. D’un autre côté, il doit également être capable d’appréhender des notions juridiques diverses. Dans son métier, le traducteur juridique peut être amené à faire la rédaction de textes, de la révision ou encore des corrections.
Le salaire potentiel du traducteur juridique
La traduction juridique est un domaine qui recrute. Cependant, il n’est pas réellement possible de fournir des chiffres exacts pour ce qui est du salaire. Le fait est que ce salaire dépend grandement du secteur qui emploie le traducteur juridique et de son expérience.
Néanmoins, l’on peut partir de la base de 2000€-3000€ de salaire brut du traducteur assermenté. Étant donné que le traducteur juridique a une spécialisation, il va de soi que son salaire est plus élevé. Par ailleurs, les revenus d’un traducteur juridique salarié seront différents de ceux d’un indépendant.